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Michel Jacquet

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" Si tu t'endors en hurlant qu'une chose est impossible tu risques d'être réveillé par le silence que font ceux qui sont en train de la réaliser" L'enfer Blanche 1993

Livres

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Rééditions

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Suite à la forte demande de mes lecteurs, les anciens étant épuisés.
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De la plume aux plombs

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Bonne nouvelle un flic est mort

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Illégitime Défiance

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Nina la belle de mai

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Label Flic

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Le Nervi

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La Rouste

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L'enfer Blanche

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Recueil de nouvelles

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Prix du public et du jury

Musique

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Affiches

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Biblio

Biographie

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     Je suis né à Marseille en 1955 et j'ai passé mon enfance partagé entre deux villages du sud de la France : Septèmes les Vallons et Bouc Bel Air.
     Très tôt j'ai aimé écrire et je me souviens d'une maitresse d'école, madame Bourelly, qui  en classe de cm1 avait affiché une de mes rédaction, au mur, derrière son bureau. Elle l'a gardée jusqu'à la fin de sa carrière et disait à ses élèves, année après année : "Quand vous saurez écrire comme ça, vous pourrez dire que vous savez écrire". 
     Sorti très jeune du circuit éducatif, après une adolescence plutôt vagabonde et dissolue, j'effectue divers petits boulots comme manutentionnaire et autres réjouissances de ce genre. C'est en 1982 que je prépare le concours de gardien de la paix et que j'intègre cette administration. Après une court passage dans les Yvelines j'obtiens ma mutation à Marseille. Je choisis alors mon affectation dans les quartiers nord de Marseille. Du service général j'intègre la filière investigation. De commissariat de quartier, je continue ma carrière au Central "L'évêché" à la permanence de nuit. Je termine mes fonctions à la Delorme dans le quinzième arrondissement, à la brigade de sureté urbaine. 
     A la retraite, que je n'ai pas voulu inactive, je me consacre alors entièrement à ma passion : l'écriture.
    J'ai publié à ce jour sept romans, un recueil de poésies et de chroniques, trois participations à des recueils de nouvelles dont une m'a permis d'obtenir un prix littéraire. J'ai monté aussi un groupe de musique successivement appelé Justine Nico puis Kholia et pour finir dans le spectre de l'écriture, j'ai collaboré avec d'autres auteurs marseillais à la création d'un pièce de théâtre "Madame Olivier" que nous avons joué avec un énorme succès sur scène. 
     Le sport aussi a été une de mes passions et de ce fait, en 1992, avec deux amis nous avons créer un petit club de foot et avons été récompensé par deux titres de champions deux années consécutives.  






















 
 
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Bibliographie

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       Roman :

L'enfer blanche, compte d'auteur, 1993

La rouste, Presse du midi ,2004

Le nervi, Autre temps, 2005

Label flic, Autres temps 2006

Nina la belle de mai,  autres temps, 2007

Illégitime défiance,  digital édition, 2009

Bonne nouvelle un flic est mort, Maia 2023

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       Recueil : 

De la Plume aux Plombs, Amazon, 2023

 

 

       Nouvelles, collectifs :

Le noir dans le blanc, Ivresse décime, ( Prix du public et du jury ) Autre temps ,2008

Noir de corse ,  Neige corse , Corsicapolar, 2008

Sponda, Je me demande si, Corsicapolar 2013

 

 

        Théâtre :

Madame Olivier,  collectif, Overliterrature, 2008

L'amant de famille ,2011

L ange gardien de la paix , 2012

 

Musique :

Kholia,  Rêve d'or, musiques Nicolas Cabasse

 

Presse régionales :

Idées et opinions La Provence de 2018 à 2022

Presse

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Dernières chroniques dans la Provence

La Provence. Dimanche 7 janvier 2024

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Denis Trossero , le mercredi 10 janvier 2024 sur mesinfos.fr

 

Littérature : Un "flic" de terrain face au suicide dans la police

Ex-policier des quartiers nord de Marseille, devenu écrivain, Michel Jacquet conte l’histoire d’un commissariat presque ordinaire dans son dernier roman.

C’est l’histoire fictionnelle d’un commissariat ordinaire de France. Avec des personnages. Des figures emblématiques. Des policiers motivés qui ont le moral, qui volent chaque jour au secours de leur prochain, qui croient à ce qu’ils font et défendent les valeurs et vertus de notre société. Jusqu’au jour où ils perdent ce moral…

C’est l’histoire en forme de roman que nous conte, sur près de 200 pages, Michel Jacquet, ancien policier de terrain, ex-flic des quartiers nord de Marseille. Michel Jacquet a une qualité majeure: il ne triche pas, il ne travestit pas la réalité et derrière sa fiction, singulièrement, c’est le vrai pouls de la police que l’on entend battre. Avec ses assassinats, y compris de policiers, ses meurtres au quotidien, ses règlements de comptes à gérer. Tant la "grande faucheuse" est une compagne assidue de l’uniforme qu’il a longtemps porté.

De la fiction à la brute réalité

Il a vécu en direct la violence émotionnelle du suicide de quelques-uns de ses collègues et c’est cette histoire-là qui le hante chaque jour. La petite histoire dans la grande Histoire de la police, non moins importante, car elle fait tant de dégâts chaque année. Tout est parti d’une phrase tordue entendue en 1995 sur une radio bien connue, qui l’a fait bondir et qui fait son titre décalé: "Bonne nouvelle, un flic est mort" (1).

Bien sûr, chacun se reconnaîtra derrière ses personnages semi-fictifs. Derrière Sylvain, Claude, Marjorie, Jean-Pierre et les autres, il y a tant d’individualités, de manières différentes d’appréhender et de vivre le réel. Beaucoup ont des surnoms, comme les délinquants qu’ils traquent au quotidien, comme si un monde déteignait parfois sur un autre. Flic à la retraite, Raymond Garcia, dit "Le Nervi", décide de reprendre du service avec quelques anciens, aussi efficaces que peu orthodoxes dans les méthodes qu’ils utilisent, et les choses vont changer…

Ils avaient certainement des douleurs en plus »

Le suicide est omniprésent. Il suffit parfois d’une épouse ou d’une compagne qui s’en va, car elle ne supporte plus de ne plus voir son mari, trop accaparé par le terrain. Il suffit d’un surendettement familial, d’une mauvaise passe, d’un mépris de trop de la hiérarchie. Il suffit d’un commissaire harceleur ou maltraitant, comme celui qui est dépeint, pour que le pire pointe son nez. Il y a enfin ceux que l’on prend volontiers pour des rocs et qui n’en sont pas.

« Ils avaient certainement un motif, une raison, des douleurs en plus, écrit Michel Jacquet. Ils ont emporté avec eux ce lourd et pénible secret. » Dans la police aussi, les grandes douleurs sont muettes. Bref, derrière les matricules à six chiffres, derrière le « surtout, pas de vagues ! » trop entendu ici ou là, il y a des cœurs qui battent.

Le titre de son livre reste follement provocateur. Mais Michel Jacquet veut réveiller les consciences assoupies sur la réalité du métier de "flic".

(1) "Bonne nouvelle, un flic est mort", par Michel Jacquet, Editions Maïa, 195 pages, 20 euros.

Catherine Merveilleux, Journal "Le Jour et La Nuit"

 

     Sous ce titre provocateur, Michel Jacquet, lui-même ancien flic des quartiers Nord de Marseille, nous immerge dans cet univers qu’il connait bien, celui de la police où assassinats, meurtres, règlements de comptes, viols se succèdent. Un roman passionnant et un thriller palpitant qui nous montre en backstage la dure réalité et le quotidien de ceux qui sont chargés d’assurer notre sécurité et de préserver la paix civile. 

     Le titre provocateur fait référence à la remarque déplacée er choquante d’un animateur de Skyrock qui 1995 prononça à la suite du décès d’un policier à Nice, lors d’une fusillade : « Il y a un flic qui est mort et ça c’est une bonne nouvelle ! L’animateur fut alors condamné pour apologie du meurtre.

    Le livre de Michel Jacquet est cependant loin d’être un plaidoyer manichéen au profit des policiers. C’est un thriller avec des personnages sulfureux, tant du coté des flics que des voyous. Les flics sont décrits avec leurs failles, sans aucun angélisme. Ils sont loin d’être des saints et c’est loin d’être une hagiographie. Beaucoup de policiers se suicident et Michel Jacquet lui-même à vécu la violence émotionnelle que l’on ressent lorsque, flic, on apprend le suicide d’un confrère ou d’un ami. Dans l’avant-propos de son roman, il écrit ; « Encore trop de policiers, gendarmes ou de gardiens de prison, sont victimes d’insécurité, de stress permanent. Sans oublier le corps enseignant ou médical. Ils souffrent d’invectives journalières de condition de travail particulières, d’un manque de respect émanant autant de la hiérarchie que du public. Quelques-uns sont allés au bout de l’acceptation et n’ont trouvé qu’une solution pour en terminer avec ce malaise chronique : effectuer l’ultime voyage. Ils ont décidé d’écrire le mot fin à leur histoire et de tirer le rideau sur leur souffrance.

    Cette fiction leur est en quelque sorte dédié car comme l’a écrit l’auteur : « Je les ai entendu rire, chanter, vus bouffer la vie avec voracité, mais je n’ai jamais vu venir le drame. Les grandes douleurs sont toujours muettes ». Meurtris, humiliés, il leur suffit d’une séparation, d’une trahison, de ployer sous les dettes et les problèmes pour basculer et commettre l’irréparable, l’inéluctable.

    C’est le cas des policiers d’un commissariat situé dans le sud de la France où à lieu une véritable hécatombe dans des conditions effroyables. Suicides et assassinats s’y succèdent à une vitesse vertigineuse sous l’œil indiffèrent, dominateur et plein de morgue de leur supérieur hiérarchique, le commissaire Morre. Lorsqu’une jeune policière est elle-même assassinée, un ancien policier à la retraite, Raymond Garcia dit « le nervi » décide de reprendre du service avec quelques Anciens dont les méthodes sont certes efficaces mais peu orthodoxes et peu conformes au code pénal… Suspens garanti !

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PS : Une erreur s'est glissé dans ce reportage, je ne suis pas commandant de police

Note de l'auteur

     « Les mots sont quelquefois bien plus meurtriers qu'une lame acérée ou qu'une arme à feu».

    « Bonne nouvelle un flic est mort » sont les propos inadmissibles, choquants et violents prononcés sur les ondes de Skyrock en 1995 par l’animateur vedette du moment. Un policier venait de succomber à ses blessures suite à une intervention de police à Nice.

    « Bonne nouvelle un flic est mort » aurait pu aussi s'intituler « suicidez-vous ou la Police tue . Ce sont des phrases que nombres d'entre nous entendent tous les jours et qui sont souvent relayées par les médias.

   Accidents, règlements de compte, assassinats ou décès naturels, et bien d'autres, la mort a été ma compagne, mon quotidien pendant des années. Le suicide de plusieurs de mes collègues ont été des moments de vie particulièrement pénibles, difficiles à accepter. Cette fiction est aussi une vision réaliste sur la dureté du métier de policier sur cette société qui ne lui reconnaît aucune faiblesse, aucune erreur. Trois ans ont été nécessaire pour écrire ce roman. Je l'ai stoppé à plusieurs reprises, trop de souvenirs ressurgissaient, de bien trop mauvais souvenirs. Cela fait des années que j'écrivais sur ce sujet, sans jamais le terminer, effaçant sans cesse le lendemain ce qui avait été écrit la veille. La fin prématurée d'un ami et collègue m'a alors incité à coucher sur les feuilles blanches ma douleur, mon impuissance. C'est cette dernière autolyse qui m'a convaincu de le terminer.

    Mais à la réalité se greffe ainsi une autobiographie du possible avec des personnages psychologiquement bien campé.

    « Bonne nouvelle, un flic est mort » n'était pas le titre originel. Il devait être au début une pure fiction où une enquête est menée pour l'assassinat de deux jeunes femmes dont une policière. Ce septième roman a été pour moi l'occasion de faire revivre mon personnage récurent Raymond Garcia dit « Le Nervi ». Un policier à l'ancienne, qui avec quelques vieux collègues, aussi revanchard que lui, tente de résoudre ce drame qui vient de se dérouler dans le sud de la France. Ils ne s’embarrassent ni de légalité ni de code pénal, ni de morale, ils veulent la vérité tout simplement. Un roman où se côtoient l'amour, l'amitié, le respect de la parole donnée, de l'autre même si l'esprit de vengeance est bien tenace.

    Un opus à la sauce douce-amère.

Une critique particulière

" Une fois n'est pas coutume, je viens vous vendre un livre.

    Alors, idem, si tu me connais, tu sais que je peux partager mes élans littéraires mais j'ai toujours défendu Pennac dans sa conviction à refuser l'impératif pour le verbe Lire (ou rêver ou aimer)

Je viens vous vendre le livre d'un flic en plus. Un flic. Moi qui pose du ACAB à chaque coin de rue (et de mesurer ici la capacité à se décaler de mes amis de longue date Seb et Aurore, qui ont compris que j'attaquais la systémie et non leur engagement, leur humanité, le déception de ce qu'ils attendaient dans leur élan à être des protecteurs de la République dans une dimension sociale et se retrouvent à être dans le même panier (à salade ) que des primo pro qui n'ont eu guère de formation et qui ont été sélectionnés pour leur incapacité à réfléchir.

"Bonne nouvelle, un flic est mort". Michel Jacquet est un auteur provençal, ancien flic dans les quartiers nord de Mars, engagé cœur et âme dans la culture provençale.

    Collaborateur de Serge Scotto et Médéric Gasquet Cyrus, il a porté des années durant, au travers de ses romans, de ses rôles d'acteurs (notamment dans la pièce Madame Olivier, jolie galéjade théâtrale décapante, il nous offre ici un roman engagé abordant justement mes positionnements ACAB. Alors, il va me maudire pour cet acronyme. Il m'opposera un not all cops et sait très bien que ses collègues voire amis se foutent en l'air à cause de ce système délétère.

     Et si je vomis le système policier, chacun sait comment je ne lâcherai jamais cet homme, cette femme qui sont entrés fort.es de ses valeurs et usé.e de la dégueulasserie fonctionnelle, du détournement des citoyens _à raison, au vu des ordres d'inter _ qui voit ses élans utopiques souillés et décide que mourir est le dernier combat.

(PS: si tu n'aimes pas lire, t'as le droit même si je crois que c'est qu'un adulte t'a dégoûté, la femme qui supporte ce retraité de flic fabrique des bijoux à base de pierre semi précieuses )"

"C"

(Pour éviter toutes polémiques sur ce texte je tairai l'auteur)

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